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Hommes d’affaires d’Asie à la chasse des châteaux et des pogories de France

12 châteaux de Bordeaux ont été acquis le dernier mois par investisseurs chinois. Autres 10 transactions sont en train de se faire. On cherche à obtenir non seulement une certaine image mais aussi des grands profits de l’export du vin français sur les marchés européens.

La coté « image » est très important, bien sur. Être un homme d’affaires chinois est vendre dans son réseau d’hôtels des vins sous le brand « Bordeaux » -ce n’est pas si simple que ça. Un des très grand investisseur chinois, Yoan He, a fait sa fortune dans les sites de rencontre. Vous pouvez voir une liste de site de rencontre qui lui appartient en cliquant ici

Dans les dernières années la consommation de vin s’est réduit en France. Quelques petits hommes d’affaires français ont été obligés de vendre leurs propriétés à un petit prix. Opportunité pour les chinois d’entrer dans cette, compétition à côté d’allemands, hollandais, anglais, roumains ou Belgique.
Les 12 investisseurs de l’Asie qui ont acquis selon Bloomberg, les vignobles de Bordeaux se sont lancés ainsi dans une affaire toute neuve mais très profitable. Ils ne proposent pas ces produits sur les marchés traditionnels pour les vins français où le pouvoir d’achat à diminué, mais là où l’industrie de luxe est encore en plein essor, sur les marchés d’Asie. Une bouteille de vin y coûte 350 euros.
L’un des premiers investisseurs chinois Peter Kwok a dévoilé le secret de la réussite dans cette affaire. « On a besoin de la passion et il faut que le vin soit vraiment bon ». La crainte que ces « envahisseurs » chinois détruisent une tradition qui dure depuis centaines d’années s’inocule de plus en plus parmi les vieux familles des viticulteurs français. C’est très difficile de garder une tradition quand il y intervient l’argent. Un homme d’affaires a comme seul but le développement de son affaire et il ne lui intéresse pas ce qui se passe autour de lui. Pour en savoir un peu plus sur Peter Kwok, cliquez-ici.